Anita Melnyk, Ph. D

Anita Melnyk, Ph. D

Directrice de projet

Anita Melnyk est directrice de projet au CAC.

Mme Melnyk s’est jointe au CAC en 2016, par l’entremise du programme de stages. Elle occupe maintenant le poste de directrice de projet. À ce titre, elle est responsable de mener les projets d’évaluation en travaillant directement avec les comités d’experts du CAC afin d’examiner, d’évaluer et de synthétiser les données recueillies sur des sujets liés aux politiques publiques. Mme Melnyk se plaît dans le milieu de travail dynamique et à facette multiples du CAC et profite pleinement de l’occasion qui lui est offerte de plonger profondément et simultanément dans plusieurs sujets d’évaluation.

Les champs de recherche d’Anita sont la biologie évolutionniste, la bio-informatique, la génomique et la résistance antimicrobienne, ainsi que l’égalité des sexes en STGM (sciences, technologie, génie et mathématiques) et le rôle de la science dans les politiques fondées sur les données probantes. Elle détient un doctorat et une maîtrise en biologie de l’Université d’Ottawa et un baccalauréat ès sciences en biologie avec spécialisation de l’Université Queen’s.

Dans ses travaux de recherche, Mme Melnyk a utilisé l’évolution expérimentale, effectuant le suivi de l’adaptation microbienne en temps réel, pour examiner l’impact des processus évolutionnaires fondamentaux sur les applications se rapportant à la santé humaine. Au moyen de cette méthode, elle a notamment étudié les fondements génomiques de la résistance des bactéries pathogènes aux antimicrobiens.

Lorsqu’elle étudiait à l’Université d’Ottawa, elle a aussi acquis une grande expérience en s’impliquant bénévolement dans des initiatives reliées à l’égalité des sexes en STGM et aux politiques scientifiques. Elle a produit plusieurs articles de recherche dans le domaine de la biologie évolutionniste, a été boursière Bromley en politiques scientifiques et a bénéficié tout au long de ces études supérieures de bourses Alexander-Graham-Bell du CRSNG.

Au CAC, elle a collaboré à plusieurs évaluations, dont les incidences socioéconomiques potentielles de la résistance aux antimicrobiens au Canada, l’aide médicale à mourir et mettre à profit les forces du Canada en médecine régénérative.